samedi 25 février 2017

"La botte et le cinéma"


Nos meilleures années (La meglio gioventù) est un film italien sorti en 2003.

Réalisation :



Scénario :


Avec :

Luigi Lo Cascio, Alessio Boni, Jasmine Trinca, Sonia Bergamasco, Maya Sansa, Fabrizio Gifuni, Riccardo Scamarcio

A la fin des années 1960, deux frères d'une famille italienne, Nicola et Matteo, voient leurs vies bouleversées par leur rencontre avec Giorgia.

Ceci étant présenté, maintenant voici ce qui est important, cette épopée court sur 30 ans d’histoire familiale et de l’Italie. Mais surtout ce film dure 6 heures 6, oui, vous avez bien lu. Sachant cela à l’époque où je me suis procuré ce film proposé en deux dvd, je me suis dit ce soir là « puisque demain ce ne sont pas les vacances et que je commence mon travail de bonne heure, je vais regarder la première partie » (vous voyez le coup venir ?), je m’installe donc vers 20h30 devant l’écran. Bien entendu j’ai enchaîné la suite (vous aviez bien vu le coup venir !), c’est dire la qualité de ce film, une bonne histoire, de bons acteurs y compris ceux du doublage français, une bonne bande son, bref tous les ingrédients d’un bon moment de cinéma.
Donc s’il ne fait pas un temps à sortir une mise en plis toute fraîche et que vous disposez de plus de 6 heures, de bons fauteuils et que vous avez pris toutes vos précautions auparavant… C’est du très bon cinéma italien. Voici deux liens vers les 10 ans du film avec une partie du casting https://www.youtube.com/watch?v=2aPzRMRKJsQ 
Extrait :
 
 

lundi 20 février 2017

Lisa Gerrard, la voix envoutante de l'émotion


Si vous chercher une voix pour porter une émotion, ne chercher plus, voici Lisa Gerrard, je vous laisse avec sa biographie reprise sur le site d'Universal music. Mais surtout avec ce titre "Sanvean". Fermez les yeux, c'est magique !
"Née le 12 avril 1961 à Melbourne en Australie, de parents immigrés irlandais, Lisa Gerrard vit aux côtés de communautés du monde entier (Grèce, Turquie, Asie) et s’en inspire lorsqu’elle commence sa carrière en 1981 aux côtés de Brendan Perry, avec qui elle forme Dead Can Dance. La production discographique de ce groupe phare du label 4AD, se situe entre 1984 et 1996. Leur musique extraordinaire ne peut être associée à une époque ou un courant, puisque Dead Can Dance est un groupe aussi influent qu’inclassable.

L’Australienne, dont la voix profonde possède une technicité digne d’une chanteuse lyrique, est inspirée par des incantations mystiques, tribales et liturgiques. Elle chante parfois en anglais et souvent dans une langue unique qu’elle a inventée. Le duo a exploré les champs musicaux si nombreux et inédits qu’ils ont été classés tour à tour dans les catégories world, ambient, folk médiévale et baroque, musique expérimentale, pour finalement devenir les représentants de leur propre genre.

Lisa Gerrard étanche aussi sa soif d’expérimentation en solo. Sur son premier album,
The Mirror Pool (1995), elle est accompagnée par un orchestre philarmonique. Sa voix est également mise à profit dans les musiques de films, activité qui l’accapare plus amplement après la séparation de « DCD » en 1998. Cette année là, elle publie en collaboration avec Pieter Bourke l’album Duality.

Elle a été nominée aux Golden Globes pour son travail sur les bandes originales des films 
Révélations et Ali, de Michael Mann (1999 et 2001), Gladiator et La Chute du Faucon Noir de Ridley Scott, en 2000 et 2001 (dont le dernier pour un duo avec Denez Prigent). En 2003 celle de Whale Rider, film néo-zélandais de Niki Caro, lui fait remporter quatre récompenses internationales. En 2004, Lisa Gerrard publie un nouvel album solo, Immortal Memory, cette fois-ci enregistré en collaboration avec le compositeur irlandais Patrick Cassidy.

En 2005, la reformation de Dead Can Dance met sa carrière solo entre parenthèses. Il s’agit en fait d’une tournée d’adieu mondiale. Après la sortie du
Best of Lisa Gerrard chez 4AD en 2007, on a récemment retrouvé sa voix divine aux côtés du compositeur avant-gardiste Klaus Schulze (Tangerine Dream), sur l’album Farscape (2008)."
 

samedi 4 février 2017

Clin d'oeil de réalisateur à réalisateur


Vous rappelez-vous de la scène mythique du landau dévalant les marches de la gare pendant une fusillade entre truands et policiers dans le film "les incorruptibles" de Brian De Palma de 1987 avec Kevin Costner et Sean Connery, Robert De Niro etc... Cette scène est un clin d'œil voulu à une même scène du film de Sergueï Eisenstein sorti en 1925 "le cuirassé Potemkine". Voyez plutôt (environ à la 5ème minute de cette vidéo).